Avec une exigence de chaque instant, Gisèle Buthod-Garçon trace sa route hors du temps et des modes. La technique adoptée dès ses débuts, celle du raku, nourrit la dimension minérale de ses oeuvres, leur apporte une vibration essentielle, enrichit l’émail de nuances subtiles et stimule les reliefs.
Les nombreux voyages qui l’ont menée de l’Afrique de l’Ouest jusqu’en Asie ont laissé de subtiles traces dans son propre langage, des références artistiques et artisanales puisées aux sources, là où l’art est essentiel, où il parle au plus profond de l’humain. Loin des habillages futiles, sa carrière est une quête sincère nourrie de valeurs tout à la fois personnelles et universelles. L’humanité n’est jamais loin, dans les corps qui apparaissent au détour d’une forme, dans le corps qui s’inscrit littéralement dans la forme, dans ces figures qui sont des réminiscences de traces humaines lointaines, stèles anthropomorphes, visages archaïques…
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